Chapitre 10
Dans ce chapitre, Meursault est seul dans sa cellule, en attente de son
exécution. Il décrit son quotidien, ses sensations, et surtout son rapport
nouveau au temps et à la mort. Il n’a plus que ses pensées comme compagnie. Il
se souvient de sa mère, de sa vie passée, et réfléchit à ce qu’il est devenu.
Il pense à la possibilité de faire appel, mais au fond, il sait que la mort est
inévitable. Petit à petit, il accepte l’idée de mourir. Il commence à voir la
beauté dans les petites choses : la lumière du ciel, les souvenirs, la chaleur
du soleil. La vie devient plus précieuse parce qu’elle est limitée. Il trouve
un calme étrange, une forme d’accord avec son destin.
Opinion
Chapitre 11
Le dernier chapitre montre les derniers instants de Meursault. Il refuse toujours les explications
religieuses et veut affronter la mort en paix, sans illusions. Il pense à sa
mère, à la nature, au soleil, et finit par ressentir une communion avec le
monde. Le roman se termine sur une note étrange : Meursault accepte la vie
telle qu’elle est, absurde mais belle, et espère être accueilli par des cris de
haine quand il mourra, comme une manière d’être enfin pleinement vivant.
Opinion
Glossaire
Cellule
: Petite pièce où un prisonnier est enfermé.
Guillotine
: Instrument utilisé pour exécuter les condamnés à mort.
Condamnation
: Décision légale imposant une peine à quelqu’un.
Haine
: Sentiment très fort de rejet ou de colère.
Souvenir
: Image mentale du passé.
Appel : Demande officielle de revoir un jugement.
Injustice : Absence d’équité ou de justice.
Étrangeté : Caractère de ce qui est inhabituel ou troublant.
Solitude : État d’une personne seule, sans compagnie.
Réflexion : Pensée profonde sur un sujet important.
Aumônier
: Prêtre chargé de visiter les prisonniers.
Apaisement
: Sentiment de paix intérieure retrouvée.
Inéluctable
: Qui ne peut pas être évité.
Éclat
: Brillance ou lumière soudaine.
Révolte
: Refus profond face à une autorité ou à un destin.
Absence
: État de quelqu’un qui n’est plus là.
Présence
: Fait d’être là, d’exister.
Dignité
: Respect de soi-même, même face à la mort.
Silence
: Absence de bruit, mais aussi de parole intérieure.
Acceptation
: Action d’accueillir ce qui est, sans résistance.
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